vendredi 8 août 2014

Place à l'amour

Depuis que le monde est monde, on a célébré l'amour. ça était le cas pour Johan et Stéphanie, au cours de leur très beau mariage le 26 Avril 2014.
Tous nos vœux de bonheur!
voici quelques instants de leur somptueuse fête.
Le photographe en a figé bien plus encore.

mercredi 1 janvier 2014

Brouillon pour un futur site

Ce blog sert de brouillon pour un futur site généalogique de Raphaël VANSEBROUCK. Chaque page sera suivie d'une demande de commentaires. Ils serviront à corriger erreurs, défauts, ou autres manques. Ils pourront être aussi un encouragement à diriger plus particulièrement la narration.
La narration des histoires des deux personnages : Cerbonei et Arzul se décrivent dans un ordre chronologique, en 7 chapitres pour chacun, de leur naissance à la mort.
Les histoires d'Arzul (le premier Guichard arrivé à la Réunion) ont été réécrites aux vues de certains faits historiques récemment découverts. Désormais les chapitres concernant Arzul sont :
  1. A1-Départ pour l’isle BOURBON : Une adolescence laborieuse à côté de son père, aux premières heures de son embarquement à Saint_Malo.
  2. A2-Le voyage d’Arzul : De l'agitation des premiers temps au piège de l'inactivité venteuse qui le maintien plus de 7 mois sur la côte orientale de l'Afrique.
  3. A3-L’installation dans l’île : Le climat insurrectionnel de l'île lors de sa première année d'installation inaugure des tumultes dont il va être le témoin.
  4. A4-La rencontre avec Catherine : Son histoire d'amour avec Catherine, sa chance compte tenu du déficit de femmes dans l'île. Des femmes destinées à l'île, deux seulement survécurent au massacre de Fort-Dauphin.
  5. A5-La révolte contre VAUBOULON : Les heures sombres de l'île de la Réunion où Arzul a joué un rôle déclencheur de la révolte contre le gouverneur VAUBOULON.
  6. A6-De la honte de se voir, au courage de renaître : Son ivrognerie l'a mené à la honte. Sa réaction le conduira à découvrir le sud, là où aucun homme n'a encore foulé la terre. Le ressentiment inspiré par l'esclavage ponctue cette période.
  7. A7-Le grand départ : Sur fond d'un formidable essor de l'île, Arzul apprend les véritables valeurs de la vie et s'ouvre à la spiritualité. Avant de mourir, il veut laisser une dernière chose au monde : Le courage.
Les histoires de Cerbonei ont été inspirées par la mémoire de personnes qui l'ont connu :
  1. C1-Naissance du feu intérieur : Déjà très jeune, le goût pour les études et la culture en générale. La fin de la guerre se termine d'une façon dramatique : Sa sœur Andréa meurt en apprenant la mort de son frère André à la guerre.
  2. C2-L'appel des responsabilités : Son histoire d'amour et son mariage avec Julie.
  3. C3-Trouver sa voie : Avant de se fixer professionnellement, il y eu des doutes.
  4. C4-Dans l'intérêt des enfants : L'éducation des enfants a motivé de nombreux déménagements. Son sentiment de culpabilité devant le suicide de sa sœur Simone
  5. C5-La terre promise : Les heures douloureuses de la guerre de pénurie surtout en médicament qui aurait pu guérir et soulager sa fille Augustine morte dans des douleurs atroces.
  6. C6-La contrepartie de la douceur : La pénurie perdure à la Réunion. La tuberculose emporte son fils Auguste puis son gendre Henri Rivière. L'aventure extra-conjugale a le goût de miel sur le tranchant d'un couteau. Sa vie bascule.
  7. C7-La fin en chantant : Le retour à la simplicité ne l'empêche pas de continuer sur son idéal de jeunesse : se cultiver. Il mourra en chantant et en batant la mesure sur l'ave maria.
Je remercie tout d'abord toutes les personnes qui m'ont aidé dans cette rédaction par leurs souvenirs avec mon oncle, mes tantes et ma mère sans qui tant de détails seraient à jamais perdus .
Ces remerciements s'adressent également à mes cousins et cousines qui m'ont donné des détails sur nos ancêtres.
Mes remerciements s'adressent également aux personnes qui m'ont inspiré de belles choses sur la généalogie.
Ma gratitude se porte secrètement vers les personnes qui dans l'ombre ont alignés des lignes de codes qui peuvent publiquement être utilisées, pour la création de blogs. Et celles qui se sont données du mal dans le correction du blog, et la relecture des articles .

jeudi 26 décembre 2013

Sous le signe de l'émotion

L'envie de présenter les histoires imaginées d'Arzul et de Cerbonei est née à la Réunion. Et plus particulièrement, lors de l'anniversaire de tante Liliane qui a été superbement organisé par Dolaine, Dédé et Max.
Pour cette journée du dimanche 11 Août 2013, tout était magnifiquement préparé. Les tables et bouquets de fleurs témoignent de cette remarquable attention. Le matin même, Dolaine avait acheté les fleurs à Saint-Paul et dans la matinée avait composé les bouquets.
Jean-Claude ODON qui assurait la réception des convives, avait préparé un album de vieilles photos familiales sur la famille ODON dont est issue Liliane. A l'évidence, il a fallu énormément de temps et d'efforts pour compulser ces informations familiales. Tante Liliane et d'autres convives, l'ont apprécié à sa juste valeur.
La généalogie était à l'honneur par la place " Catherine HEROS " notre ancêtre : une indienne originaire de la région de Surate.
La présence exceptionnelle de Max fédérait toutes les énergies.
Dédé se chargeait de l'animation et Max assurait un récital de chansons. Il commença à notre grande surprise par une chanson de Bourville. Il y avait une telle émotion qu'il fallait être vraiment fort pour résister à cette vague qui nous submergeait et prenait à la gorge. C'était peut-être pour célébrer la tendresse maternelle.
Un téléphone saturé a empêché d'autres enregistrements (^^). Aussi, quelques chansons chantées seront reprises sur des enregistrements youtube: Avec d'abord l'intégralité de la chanson de Bourville
Max a certainement pensé également à son papa par la chanson de Daniel GUICHARD : Mon vieux.
L'amour a été célébré dans beaucoup d'autres chansons et notamment dans celle de BREL : Quand on a que l'amour.
Bien sûr la Réunion y était présente, avec de vieilles chansons créoles. Des tendres et romantiques comme la chanson de Jacqueline Fareyrol : Mon île.
Mais également celles rythmées par le séga ou le maloya, venaient nous ravir.
Le ti cozeman de Joël Vigne à mamzell lamour : gramon la toujours di lamour y donne la vie.
Les rythmes mauricien étaient également présent par Ambalaba
A la fin de la fête Eloïse a dansé au rythmes du maloya. C'était la fête!
Et à la question : Est-ce que la Réunion lé la?
La réponse va de soi : La Réunion lé la même.

mercredi 28 août 2013

Les Histoires imaginées

A mi-chemin entre le roman et les chroniques généalogiques, les histoires imaginées ont pour but de rendre vivante, l'histoire de notre ancêtre. Les chroniques généalogiques ne s'en tiennent qu'aux faits étayés par des sources sûres. Plusieurs possibilités s'offrent à nous pour relater ces anecdotes:
  1. Il y a tout d'abord celle de les mettre dans les notes relatives aux personnes dans les logiciels de généalogie. Ces notes sont d'ailleurs reprises dans les fichiers de liaison normalisée, mis au point par les mormons, les GEDCOM.
  2. Il y a ensuite, les possibilités de les mettre dans des sites généalogiques. C'est le cas de généanet.
Les chapitres courts représentant une période de vie seront volontairement ponctués par l'émotion d'évènements marquants.
Les histoires imaginées mettent l'accent sur les périodes marquantes de leur existence. Elles pointent du doigt avec pudeur, mais sans ambiguïté les aspects positifs et négatifs de sa personnalité. Elles possèdent en filigrane les codes pour déterminer la frontière entre le fictif et le réel : le détail est relatif au véridique la description du sentiment est fictif.
Les histoires imaginées peuvent être lues à plusieurs niveaux. Dans la mesure du possible une recherche historique a été faite. Voyager dans l'histoire et se replacer dans un contexte historique est une aventure qui excite notre curiosité.
Cela peut être également un support pour une approche psychogénéalogique ou transgénérationnelle. Le lecteur pourra y trouver des éléments de pardon ou de gratitude envers ses ancêtres. C'est déjà avoir une même attitude par rapport à soi-même. Et se trouver des motifs de s'aimer, s’apprécier et d'avoir le courage de regarder dans le grand miroir de la vie, de la nature, de l'autre.
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